DIFFRACTIS AU JARDIN # 6

Parcours Quartier Nansouty & Sacré-Coeur, Bordeaux/ septembre 2021

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Programme de l'expo

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Dans les creux

Dans le jardin, en contrebas, sommeille un nid de verdure, un chemin, un bassin, sertis de murs sur lesquels s'entrelacent passiflore et solanum , des feuillages, du vert, de l'ombre, et là, contre la terre assombrie par l'orage survient l'écriture blanche des céramiques et des branches d'ombellifères, un abri, des récipients, des reliefs de cellules .

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120 pots de terre

Essaimage, cheminement, liseron, rampant, les pots s’agglutinent ou se dispersent entre les racines et les feuilles, ils avancent, ouvrent leurs corolles vers le ciel, éblouis, ils rythment l'espace de leurs creux circulaires, recueillent les particules invisibles d'un été encore présent. Dessins d'ombres, le soleil creuse le blanc, un nuage passe, les contours reculent, subsiste alors leur simple matérialité de pot de terre en attente de lumière, de pluie, de graines...

«120 pots » Installation / céramiques

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...De cellules

gravées, creusées, porcelaines, rappel d'un travail de gaufrage sur papier, anatomie de microcosmes, coupes histologiques, tissus , noyaux, membranes de matières  : fougères, pollens, lichens,... L'abri de branches, treille, refuge, tunnel, cabane, sous-tend l'invasion végétale. Il est l'ultime étape des précédentes avancées : l'abri. Dans les creux, les vides, les ouvertures et les volumes signifiants , s'imaginent des potentialités multiples, points nodaux du virtuel, du manque et de la plénitude, en attente.

 

« cellules » linogravure / Céramiques

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L'abri

de branches , treille, refuge, tunnel, cabane, sous-tend l'invasion végétale. Il est l'ultime étape des précédentes avancées : l'abri. Dans les creux, les vides, les ouvertures et les volumes signifiants , s'imaginent des potentialités multiples, points nodaux du virtuel, du manque et de la plénitude, en attente.

 

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Christine Duboz

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